Education bi d’un esclave par une gynarchiste

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans

Maîtresse Sandra est une richissime gynarchiste aussi sadique que joueuse. Unique héritière de son mari, un producteur célèbre décédé il y a maintenant dix ans, elle se complait à organiser des soirées BDSM dans son immense villa située dans l’arrière pays niçois.

Elle ne recrute que du personnel masculin. Les hommes ne lui font pas peur bien au contraire, ils l’amusent fortement lors de leur recrutement pendant lequel elle est ignoble. S’ils acceptent de travailler pour elle malgré les sévices psychologiques, c’est pour une seule et unique raison, l’argent car de ce côté-là, elle n’est pas avare non plus.

En cette magnifique journée du mois de juin 2014, elle se prélasse sur un transat au bord de sa piscine couverte avec à ses côtés son nouvel esclave, un mâle qu’elle surnomme la larve, et son homme d’entretien qu’elle a surnommé « serviteur ». Serviteur est gay, c’est d’ailleurs pour cela qu’elle l’a recruté, au moins celui-là ne la drague pas et ne cherche pas à la mater quand elle se balade nue ou s’amuse avec son ou ses esclaves.

  • Serviteur, viens ici !

  • Oui Madame ! Répond l’homme d’entretien qui était occupé à nettoyer la piscine sans s’offusquer qu’un homme soit nu et à genoux à côté d’elle.

  • Une belle prime te ferait-elle plaisir ? Tu pourrais t’offrir une nouvelle tenue pour aller t’éclater dans tes clubs de refoulés ?

Habitué aux frasques de sa patronne, le gay se moque bien de ce qu’elle peut lui dire, tant qu’elle le paye et ne cherche pas à le dominer, il n’en a que faire.

  • Ma larve se dit prêt à tout pour sa Maîtresse, j’ai envie de l’éduquer et de m’amuser, si tu l’encules je serai généreuse ce mois-ci. Disons qu’une prime canicule pourrait t’être attribuée. Le montant sera évidement à la hauteur de ton investissement et de tes performances.

  • Mais avec plaisir ! Répond l’homme d’entretien, non pas à l’idée de baiser un mec devant sa patronne mais par l’idée de la prime, la dernière faisant mille euros pour avoir simplement pissé sur un soumis de passage.

En entendant cette conversation l’esclave frémit de la tête aux pieds, il sait qu’il n’a que deux choix possibles, accepter de subir ou se faire virer. La bisexualité ne l’a jamais attiré même s’il apprécie que sa Maîtresse le gode parfois ou lui fasse porter des plugs pendant qu’il fait le service pour lesquels il est sévèrement puni s’il les laisse tomber.

  • Allez le chien, on va s’amuser ! Indique Maîtresse Sandra en se levant. Marche à quatre pattes comme une bonne chienne qui va se faire saillir. Rajoute-t-elle en tirant sur la laisse pour le conduire vers la maison.

Arrivés dans une des chambres, Maîtresse Sandra demande à l’homme d’entretien de retirer son pantalon puis de se branler pour proposer « quelque chose de consistant ». Soudain elle attrape la belle verge pour la guider vers son esclave en lui indiquant de la sucer pour l’aider à prendre forme. Esclave fait une mine dégoûtée mais il n’a pas le choix et s’exécute sans discuter. Dans sa bouche, la bite prend de l’ampleur pour arriver à une taille très respectable, trop à son goût d’ailleurs car il sait qu’il ne coupera pas à la sodomie promise.

  • Passons aux choses sérieuses, Larve, étends-toi sur le dos jambes en l’air pour bien lui offrir ton cul de chienne. D’ailleurs je vais aller sur ABCplaisir pour te commander un plug queue de chienne et une cagoule de chien, tu seras encore plus beau et je ne verrai plus ta gueule de con. Ordonne Maîtresse Sandra de plus en plus excitée.

  • Puis-je avoir un peu de lubrifiant ? Demande l’homme d’entretien en enfilant un préservatif.

  • Pour quoi faire, crache sur sa rondelle, cela suffira, elle est habituée aux gros plugs.

Le gay n’est pas gêné du tout par ce qu’il entend et s’exécute aussitôt en soulevant bien les jambes de l’esclave pour exposer l’anus peureusement contracté. Lorsque le gland passe le passage, la larve commence à geindre et à se plaindre, il est entendu, compris et raisonné d’une grande gifle sans plus d’explications. Au fur et à mesure comme disait Mylene, le gay se laisse aller, baiser un cul serré pendant ses heures de travail ne lui déplait pas du tout, bien au contraire, surtout avec à la clé la pensée d’une prime substantielle. Que la larve souffre n’est pas du tout son problème, à chacun ses petits soucis même s’il sent bien que sa grosse bite casse vraiment le passage peinant à se décontracter.

Maîtresse Sandra arrête de se branler puis se lève soudain, enjambe la tête de son esclave et lui ordonne de lui lécher le cul pour moins penser au sien. Le gay se laisse vraiment aller en terme de labourage, la scène l’excite de plus en plus, cette salope de patronne est vraiment une garce mais là, il s’éclate. La larve dépucelée au sens propre du terme se noie presque dans les généreuses sécrétions de sa Maîtresse dont il lèche maintenant généreusement les orifices quand elle ne s’assoie pas trop fortement sur son visage.

Perdu dans la lancé de son bourrage de cul, le gay s’approche de la jouissance à grands pas, ou plutôt grands galop, il demande de façon anodine comme si tout cela était normal où il doit se répandre. « Dans son cul de bonne chienne » répond Maîtresse Sandra avant d’ajouter qu’elle désire récupérer le préservatif usager avec son contenu. Moins d’une minute plus tard, le gay jouit en s’autorisant un commentaire qu’il lui vaudra cinq cent euros de plus : « prends-toi ça chienne, je te casse, je te bourre et je te remplis le cul, promis je te garde mon présa, comme ça tu auras un petit souvenir à bouffer si ta Maîtresse le désire ».

Maîtresse Sandra assise sur le visage de sa larve, tourne soudain la tête pour faire un grand sourire et un clin d’oeil à son homme d’entretien, décidément, les gays sont de bons mâles avec de bonnes idées pense-t-elle. Rapidement congédié par une phrase très élégante « Allez le gode sur pattes, tu peux te barrer et aller bosser ».

Le gay se moque de la réflexion désobligeante mais n’oublie pas de tendre le préservatif usagé à sa patronne avant d’enfiler son pantalon et de quitter les lieux sans tarder pour avoir la paix. Si la larve sent bien que sa Maîtresse est satisfaite et heureuse, le sourire sadique qu’il lit sur son visage ne lui dit rien qui vaille.

  • C’est pour qui ça ? Demande Maîtresse Sandra en agitant le préservatif usagé au dessus du visage de son esclave.

Pour la larve dégoûtée à l’idée de ce qu’il l’attend, la marche est haute mais avant même qu’il ne puisse essayer de réfuter, l’ordre de lécher le préservatif tombe. Maîtresse Sandra s’amuse comme une folle, elle le lui fait entrer et sortir de sa bouche avant de le vider en son entier dans sa cavité buccale qu’elle referme aussitôt d’une main ferme avec ordre de tout avaler.

  • Tu vois que c’est bon, c’est l’acte d’amour que ne peuvent refuser les femmes vanilles, tu m’aimes donc tu bouffes connard. Lui indique Maîtresse Sandra en éclatant de rire. Allez la chienne, va te coucher sur ton tapis, je vais t’acheter ce que j’ai dit sur ABCplaisir et je vais te commander une niche, ce sera ta chambre quand je recevrai ma nouvelle copine. C’est une magnifique et authentique lesbienne à qui je te prêterai peut-être un jour pour que tu montes la garde devant sa porte.

EPILOGUE

L’homme d’entretien a bien reçu une prime exceptionnelle substantielle, son salaire du mois a été doublé. La larve vit maintenant comme une chienne, Maîtresse Sandra lui a acheté une niche, un plug queue de chienne, une cagoule de chien et une cage de chasteté pour qu’il ne puisse avoir du plaisir uniquement par la saillie du gay ravi de tirer des coups aussi rémunérateurs.

Aussi paradoxalement que cela puisse paraître, la larve apprécie cette vie de chien.

Ecrivaillon.

La vidéo gynarchiste est ici

Acheter une cage de chasteté

Acheter une cagoule pet ou dog trainning

Acheter un plug queue de chien chienne

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement